Les cas solides :Cussac, 1967, RR3 |
Principe de "bonne foi" du témoin :Foin de telles spéculations, la vérité est plus simple : la cohérence des témoignages va plutôt dans le sens de leur crédibilité.
Ce cas n'est pas, a priori, à considérer comme un canular sachant que ceux-ci sont rares et que rien dans le témoignage ne suggère cette possibilité. Les enfants rentrent chez eux apeurés et larmoyants, le sifflement est entendu par un témoin indépendant...
Les enquêteurs Joël Mesnard et Claude Pavy, précisent dans le rapport publié dans la revue "Phénomènes spatiaux" N°16 de juin 1968, que "jamais les deux enfants ne parurent embarassés par leurs questions. Soit ils avaient vu le détail demandé, soit ils ne l'avaient pas vu. Par exemple F. nous a dit : "Depuis le premier jour, Anne-Marie dit qu'elle a vu des béquilles sous l'objet, mais moi non, alors je ne peux rien vous dire !".Il est également précisé que F. portait des lunettes (et pouvait donc avoir une moins bonne vue que sa soeur), et qu'il y avait un second point sur lequel le récit des enfants divergeait. Peut être pour la même raison (mauvaise vue du garçon).